La chaleur du soleil matinal caressait mon visage peu éveiller. Ce la devait faire environ 1 heure que je me promenait dans Londres à la recherche d'une occupation. Je vérifie le peu d'argent me restant dans mes pauvres poches. J'y trouve 500 livres, juste assez pour m'acheter certains livres, payer la chambre de mon hôtel. Je me dirigeais donc en direction de la librairie. Chaque pensée, chaque pas, chaque vue, se transformèrent en vers pour une de mes futurs poésies. Me voici finalement face à cette librairie où je put lire un pancarte où il y avait écrit "welcome in dreams". Surement le nom de la bibliothèque ou bien une phrase de bienvenue, mais je ne m'y attardas pas plus longtemps car mon temps était précieux. Je fit entré et remarquas une immense pièce plus ou moins grand comparés à certaine bibliothèque. Plusieurs rubriques s'y trouver rangeant les livres par plusieurs types comme: les nouvelles m'attirant très peu, les romans, livres remplient de merveilles remarquable rien qu'en voyant leurs couvertures illustrés et si douces, des journal couvertes de savoirs que se soit politique ou bien sportif, et enfin les revus poétiques tant attendus. Je feuilletas quelques livres avec des éclats dans les yeux, surement la joie de pouvoir lire ces fameux oeuvres. Je tourne discrètement ma tête et vit une fille assez belle, un livre dans la main et se tenant les cheveux avec sa main droite. Elle portait une robe rose splendide des talons azur, les mêmes couleurs que ses yeux. Je prit rapidement certain livres et partit en direction de la caisse d'un pas vif et brute. Ma peur pour les filles m'a rattraper. Je prit mes livres et après les achats pris la direction d'un banc pour lire ses écrits. Dés qu'il ouvrit le premier livre, des cris se fit entendre suivit par des coups de feus en direction de l'un des magasins. Je vit des personnes fuir d'une voiture avec un sac dégoulinant de billets. Comme par hasard à ce moment précis, des personnes viennent empêcher ma formidable lecture. Rien au monde ne comptait plus que mes livres. Je laisse le braquage de coté et rentre en direction de l'hôtel. A quoi bon devenir un héros? C'est maintenant que je me récite des vers fragmentés dans mes pensées:


J'entendais des cris près d'une ruelle et remarquas que c'est maudits vandales ne s'occupait pas que d'argent, ils venaient de capturer la demoiselle que j'avais remarqué à la librairie. Tout sa aller finir par m'agaçais. Le calme serais de retour seulement après avoir jeté ces criminels en prison. Mais que fait la police? Eh bien soit, en tant que gentleman je devais faire cette bonne action et donc je partit à la poursuite de ces voleurs pour sauver cette demoiselle en détresse. Je pose mes livres sur le banc et part à leur poursuite. Je devais être plus rapide qu'eux et aussi faire profil bas car je me trouvais au centre de l'allée commerciale. Je dut monter au sommet d'une de ces prestigieuses maisons et sauter de toit en toit jusqu'à avoir réussi à retrouver la piste de ces mesquins sacripants. Je vit leur voiture ce stopper nette face à un entrepôt abandonner. Classe mais normal, je fit un saut de la foi depuis l'un des toit pour retomber en plein sur le béton dure. Mon visage avait percuté le sol de plein fouet. Une énorme trace se faisait voir sur mon visage alors que je saignais du nez. Quel maladroit je suis, mais cette erreur n'allait surement pas m'arrêter. Je me remit sur mes pauvres pattes, assez heureux d'avoir survécu à une telle chute, et pris la direction de l'entrepôt. J'ouvre lentement la porte rouillée de cette entrepôt délabrée et me cache derrière une caisse puis écoute la conversation des bandits.

Quelle belle prise les gars, en plus de ramener l'argent que ce maudit marchand nous devait, vous me ramener ma futur femme hehehehe...

Surement leur chef. Il touche avec douceur le visage de la pauvre jeune femme qui répond en la lui mordant avec colère. Le chef criait de douleur et lui donne une claque violente. La demoiselle lui lanças des jurons de toutes part, sur son physique, sa famille et ne put continuer car elle fut bâillonner. Je suis passer à l'action en me cachant dans le noir. Je devais me faire discret sinon je risquais de finir en chiffon troué. Un garde patrouillé, je l'assomme rapidement et commence à me rapprocher du centre de l'entrepôt. Je montas en haut d'un container pour mieux regarder le spectacle....serait-il en train de la violer? Il venait de sortir un couteau et de déchirer la robe de la jeune femme. Je saute du container et dégaine "thorns of soul" en ayant gentiment retirer les baïonnettes et presse le canon au visage du chef et pointe le pistolet au niveau entre ses jambes. Qui voudrais ordonner à ses hommes de tirer si on risque de perdre un point aussi sensible. Il fit signe au autre de déposer leurs armes. Je rapprochas lentement mes lèvres à son oreilles et lui murmure une phrase. Il refuse et accepte quand il remarque mon doigt sur la détente. Je me retire avec la fille sur mon dos quand soudain ils m'attaquèrent alors que j'étais près de la porte de sortie. Je dépose la demoiselle et lui fait signe de ni regarder ni bouger. Je disparais dans les ténèbres et revient après quelque cris de douleur l'air naturel. Je prend la fille dans mes bras et sort de l'entrepôt. Elle m'enlaça et je fut à deux doigts de vomir. Je la dépose plus loin et lui dit de répété de cette événement à personne. Elle s'éclipsa en me remerciant et je partit chercher mes livres. Mais quand je vit que mes livres avaient été voler, j'ai crié un injure et suis rentrer en direction de la chambre de mon hôtel avec un air colérique et attristée, au bords des larmes. Voila la cout de jouer au héros...

Toujours sous la colère de cet affreux jeu du sort, je fut interrompu par une voix masculine assez plaisante. Cette voix était chaleureuse mais semblez même assez moqueur. Celle ci me posa une question qui me remit d'aplomb.

-Excusez moi, monsieur. Ces livres sont à vous si je ne m'abuse?

Je comprit immédiatement que cette personne était très bien élevée et donc je me retourna tout en le dévisageant avec un air interrogatif. Rien qu'en remarquant sa tenue faites avec haute renommée et ses bonne manière ainsi que sa serviabilité, ce jeune homme ne pouvait être que un majordome travaillant pour un comte. Il portait une tunique voir une robe noir avec un foulard en tissu. Des gants fait à partir de cuir blanc et cousu avec une ficelle dorée. Je remarqua aussi sur ses yeux, d'une profondeur incroyable et d'un jaune exquis, rien de plus séduisant que un jeune homme d'un mystère incroyable et d'un regard aussi...étrange. Ses yeux me semblait assez perturbateur. Un regard démoniaque? Surement mon imagination même si certain s'amuse à jouer avec nos émotions ou bien nous faire croire à certaines identités. Mais il me semble qu'il ne me voulait aucun mal. Alors, avec grâce et sourire, je me présentas face à ce majordome.

-Je vous remercie inconnue. Il me semble que se genre de don me va droit au coeur et surtout lorsque l'on me ramène mes précieux livres. Je me présente Stork Artowki, amoureux de la littérature anglaise. Je vous suis reconnaissant pour ceci mais je dois me hâter, à bientôt inconnue.

C'est seulement en le saluant que je remarquas ses fines lèvres tentatrices recherchant le baiser réveillant son âme de jeune majordome au grand coeur. Mais je ne voulais point perdre du temps en poésie sur l'apparence de l'amour. Je prit donc le chemin d'une petite ruelle assez connue pour tout les magasins animaliers. Je me sentais seul et j'avais besoin d'un animal pouvant revigorer tout mes sentiments pour écrire et écrire des vers.Mon âme fut illuminé par un son aigu d'un animal petit mais mignon. Un poussin, seul dans une cage, semblait être attaché à moi. Sa couleur jaune m'a réchauffer mon petit corps. Je l'adopta immédiatement et le regarde avec un grand sourire, c'est alors quand je quittas l'animalerie que je remarquas un visage qui me semblait assez familier. Je souris en remarquant la jeune fille que j'avais sauver des vils bandits.